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My blog so chou

Lis, vis, aime

Et le rideau sur 2016 tombe

Nous ne sommes que le 21 novembre mais l'heure du bilan a déjà sonné pour moi.

La plus belle avenue du monde s'est parée de ses plus beaux atours, s'apprêtant à briller de mille feux pour les fêtes. Paris sort ses habits de lumière, et moi je suis envahie d'un voile de tristesse qui m'empêche de m'associer à ces futures réjouissances...

2016 a commencé tout en douceur; j'ai abordé cette dernière ligne droite de trentenaire sereine et confiante en la vie. Des mois plus tard, je ne suis plus qu'incertitude. Je n'ai qu'une hâte: que l'année se termine car j'ai épuisé ma dose d'optimisme et de positivité. 

Plus d'une fois, au cours de l'année, j'ai eu l'occasion de me réjouir: j'ai vécu des moments de bonheur intense remplis d'amour avec ma famille; j'ai vu mon fils se transformer petit à petit en homme; malgré une enfance compliquée, j'ai l'impression qu'il est équilibré et bien dans sa peau. Il entame sa première année de lycée dans de bonnes dispositions et mon coeur se gonfle de fierté en le regardant. J'ai vu la naissance d'une petite fille tant attendue qui fait le bonheur de ses parents; cela fait de moi une tatie totalement gaga devant cette bouille d'ange.

Et puis, il y a tout le reste...

La vie m'oblige à acquérir une indépendance affective, à ne plus apprécier mon bonheur à travers le prisme du bonheur de ceux que j'aime. Moi qui aime tant aimer, je me retrouve souvent les bras ballants, sans personne à serrer. Je dois apprivoiser la solitude, une amie longtemps perdue de vue dont je n'apprécie que moyennement la compagnie.

Aujourd'hui a été le point d'orgue de longues semaines qu'il a fallu meubler et que j'ai traversées sans passion ni joie particulière; une de ces journées qu'on voudrait oublier vite, très vite.

Ce soir j'ai l'impression d'être une coquille vide qui part à la dérive, ne pouvant pas lutter contre ce courant qui l'entraîne vers l'inconnu.

Plus que quelques semaines et 2016 baissera le rideau. Je me prépare à accueillir 2017 avec ses promesses de lendemains qui chantent et son lot d'espoirs...

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Rachel


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D
Il fqut y croire Rachel la solitude si lourde a porter n'est pas une fatalite ... et il y a ton fils, ta petite niece et au bout du chemin le bonheur cest ce que je te souhaite
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R
Bonjour Catherine,<br /> Je ne considère pas cette solitude comme une fatalité même si je la vis mal...<br /> Avec 2017 qui pointe son nez, tous les espoirs sont permis!<br /> Bisous
M
Je te souhaite une année 2017 riche en bonheurs Rachel. <br /> 2016 m'aura permis de couper quelques liens forts, de voir mon fils s'épanouir. 2016 m'aura offert ENFIN un divorce et une nouvelle indépendance. <br /> Mais aussi la solitude "amoureuse" - je me suis mis beaucoup de pression pour rien. Aujourd'hui je ne suis pas certaine d'être prête pour laisser une autre personne entrer dans ma vie. Je prends le temps de me connaître et de m'aimer doucement. Et je me rends déjà compte que j'arrive à ENFIN savoir ce que je veux et ne veux pas dans ma vie.
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R
Je te retourne les mêmes souhaits Marie! Que 2017 voie tes rêves les plus fous se réaliser! <br /> Je suis loin de savoir ce que je veux, encore moins de savoir m'aimer, mais je ne désespère pas! De toutes façons, la vie ne me laisse pas d'autre choix :-)
P
La solitude qui te laisse les bras ballants j'ai connu . La période est difficile mais pas insurmontable je peux te l'assurer ! L'année nouvelle sera autre, sois- en certaine :) En attendant les jours meilleurs tu as ta fierté de maman pour t'aider à avancer ! Courage, la vie est devant toi ! Bon mardi Rachel Bisous
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R
Merci beaucoup Paulette! Il est des jours comme ça où tout paraît aller de travers! j'espère sincèrement que 2017 sera porteuse de bonne nouvelle! Bonne journée à toi! bisous